jeudi 14 février 2008

Dans la série


Dans la série " EDL tu pue ", tome 2 journée à Ecouen. Posée dans le train avec ma délicieuse et gastronomique salade pâtes-tomate-thon-maïs miam miam, je regarde la ville qui défile et je n'arrêterai jamais d'aimer Paris, malgré tout ce qu'on peut dire sur l'ambiance, le gris, les gens ou le prix des loyers, la ville en train c'est toujours magnifique, plus infini que face à la mer et beaucoup plus poétique ( peut être parce plus triste ? ). 
Bref, après 25 jolies minutes de train, le débarquement en terrain inconnu et le chemin demandé, la recherche du musée commence. A croire qu'ils ont tout fait pour qu'on y aille pas, froid, bois, panneau à moitié effacé, chemin terriblement en pente pour mes jambes mollassonnes . . . Au bord de la crise de nerf je trouve l'entrée du parc puis le château . . . fermé jusqu'à 14 heures, pas grave on va attendre dans le froid. 10 minutes plus tard dans la boutique ( tiens les livres des soldes de la RMN . . . ), chaleur, gens qui arrivent et puis c'est tout. Pas de gentille madame pour faire le TD et qui n'a pas de portable des fois qu'on aurait besoin de la joindre. 14H40, 3,50 de train à l'aller et un joyeux musée à visiter. Première salle pleine d'épées, de pistolets et d'armures Dieu ne m'a peut être pas totalement punie mais en fait si. Après ce n'est que tapisserie, cuirs et grotesques,armoires et commodes. Finalement la majolique, l'émail et Iznik ont eu raison de ma bonne volonté au bout de 10 minutes. Retour par les bois, reprise de train, repassage par la glaciale gare du Nord avant de repartir cavaler dans ma ville adorée.
 Ecouen ou l'enfer du grotesque.

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